Mouvements à la maison d'arrêt de Nantes...

Affiche programme de l'exposition "Entrez libre", illustration David Bartex.

Grâce à l'équipe de PIK UP PRODUCTION, Gilles BOULY, expose sur la ligne verte du VAN,
Voyage à Nantes 2017 
avec une bande de repris de justesse...

Un lien s'active d'un clic derrière chacun des noms colorés. 

"Arrière petit-fils de James Ensor, peintre qui voyait la vie comme un grand carnaval, Gilles Bouly choisit à l’âge de 7 ans de devenir artiste; dessinateur, sérigraphe, comédien, chanteur... Pour ce faire il se constituera plusieurs fois des familles :
A l'école des "Beaux-arts de Lille", la famille punk de "Crise de nerf";
dès 1980, la famille "Collectif Organum", troupe de théâtre de rue;
en 1997 il rejoint l'équipée "Le Phun" à Toulouse qui le fera voyager autour du monde jusqu'en 2015.
Suivent deux rencontres expérimentales « Potlatch », l'une à Lille en 2015 et l'autre à Toulouse en 2016.

Ici, à Nantes, sous l'influence du texte de Henri Michaux "Face aux verrous", il nous emporte dans un maelstrom graphique et poétique. Il envahit l'étage du greffe sur les thèmes : surpopulation carcérale, promiscuité, distorsion du temps et folie due à l'enfermement..."
In programme exposition "Entrez libre" au greffe de l'ancienne maison d'arrêt de Nantes

Aperçu des peintures de Katjastroph pour l'exposition "Entrez libre" au greffe de
Gilles Bouly remercie sincèrement l'ensemble des ami(e)s qui ont participé(es) de près ou de loin à la réalisation de ce projet inauguré le samedi 1er juillet 2017 à la suite de trois semaines de résidence à l'ombre... David BARBAGE Horace BARBAGE Pascale ADNET, Achille VERBRAEKEN Lucille DDAUTRICHE

Papinage nocturne...


Esprits des lieux.


Portraits types et typés.


Timidité des nerfs.


Sas-anges.

"Déliez-moi les pieds"



"Qui, ayant suivi mes signes sera induit par mon exemple, à en faire lui-même selon son être et ses besoins, ira, ou je me trompe fort, à une fête, à un débrayage non encore connu, à une désincrustation, à une vie nouvelle ouverte, à une écriture inespérée, soulageante, où il pourra enfin s'exprimer loin des mots, des mots, des mots des autres».
In Face aux verrous de Henri Michaux 1899-1984.